La crise immobilière actuelle provoque le doute chez les acteurs du marché immobilier. Vendre ou ne pas vendre son bien immobilier avant que les prix ne baissent encore plus ? C’est le principal souci des propriétaires et des vendeurs. Acheter, louer ou ne rien faire ? C’est le dilemme auquel les particuliers et les investisseurs sont maintenant confrontés.
En situation de crise immobilière, le marché en pâtît et les esprits des acheteurs, des vendeurs et des locataires s’embrouillent. Les prix baissent mais le nombre d’acheteurs ne connait pas d’augmentation significative.
Toute décision d’achat ou de vente doit être bien réfléchie afin de faire une économie financière ou éviter de vendre un bien à un prix au rabais.
La crise immobilière frappe surtout les ventes immobilières
Plus la crise immobilière dure et plus les ventes stagnent, le nombre d’acheteurs tend à s’équilibrer avec le nombre de vendeurs, ce qui provoque du coup un ralentissement du nombre de transactions effectuées.
La crise immobilière frappe surtout le moral des acheteurs puisque la majorité des ménages français qui ne sont pas propriétaires hésitent encore à passer le cap de l’achat de logements, neufs ou anciens. Le contraste est saisissant, les prix des biens immobiliers sont en train de baisser partout en France mais les acheteurs ne sont pas au rendez-vous. Les dispositifs mis en place par le pouvoir public afin de faciliter l’accès au logement sont pourtant plus qu’encourageants.
L’ombre de la crise de 2008 plane encore dans les esprits des ménages français, le souci d’un lendemain sans perspectives meilleures n’est guère rassurant pour le moment. Les millions de chômeurs, qui atteignent en moyenne un taux de 10,4 % de la population active sur le troisième trimestre 2014, ne sont pas un gage d’avenir radieux pour le marché immobilier au cours de cette année 2015.
La crise immobilière doit-elle vous empêcher d’acheter ?
Malgré la crise immobilière actuelle, investir dans un appartement, une maison ou un terrain peut s’avérer intéressant sur le long terme surtout dans certaines grandes villes et dans les départements qui ont un bon potentiel économique. Comment est-ce possible ? Tout simplement parce que l’économie connaît des cycles et perturbe parfois tous les marchés y compris celui de l’immobilier, mais au final, le prix de l’immobilier repart toujours à la hausse.
Acheter en temps de crise immobilière offre des opportunités sans précédent, des appartements, des maisons et des terrains sont désormais à votre portée. Par exemple, si les prix du m² d’un appartement de petite surface à Paris étaient auparavant inaccessibles, maintenant, ils connaissent aussi la même baisse que dans la plupart des grandes villes de France.
Si vous avez les moyens, vous pouvez vous acheter un appartement à un prix pas cher. Un conseil, prenez le temps de consulter les annonces immobilières de MaisonPorteOuverte.com, vous y trouverez sûrement une maison, un appartement ou un terrain à un prix auquel vous n’aurez jamais pu imaginer.
Contexte économique difficile et crise immobilière vont de pair
Le marché immobilier connaît une contraction de la demande en ce moment à cause de la difficulté économique présente dans toute l’Europe. La crise financière et le ralentissement économique à l’échelle mondiale ne sont pas étrangers à la crise immobilière actuelle.
Même si les prix du m² des biens immobiliers ne cessent de dégringoler depuis l’année 2011, il arrivera bien à un seuil d’équilibre un jour ou l’autre. Les prix ne diminueront pas éternellement puisque les coûts de construction vont se répercuter sur les promoteurs immobiliers et les particuliers qui investissent. Par la même occasion, les prix vont commencer à se stabiliser puis repartir à la hausse progressivement.
La relance économique reste la clé pour que la crise immobilière puisse se résorber petit à petit. La croissance de la demande aidera le marché immobilier à se stabiliser et aura des conséquences positives sur les prix de l’immobilier. Pour l’instant la crise est toujours présente mais le nombre de ventes du trimestre dernier repart un peu à la hausse, une petite lueur d’espoir pour les vendeurs.